Au tout début de l’Islam, la communauté humaine était partagée concernant la femme: Un groupe se comportait avec elle, tel qu’un animal domestique. Pour eux, elle ne faisait pas partie de la société, mais considéraient qu’il était possible de l’utiliser en tant que soumise et servante, pour le bienfait de cette même société. L’autre groupe qui était certes plus civilisé se conduisait à son égard comme on le fait avec un être inférieur, un enfant ou un esclave, dépendant de son maître. Ses droits dépendaient de sa situation et étaient gérés par les hommes. C’est l’Islam qui a pour la première de la femme à la société et a considéré respectable son comportement.
أَنِّي لَا أُضِيعُ عَمَلَ عَامِلٍ مِنْكُمْ مِنْ ذَكَرٍ أَوْ أُنْثَىٰ ۖ
« … En vérité, Je ne laisse guère perdre les actes accomplis par quiconque d’entre vous, homme ou femme, vous êtes les un des autres… »
En Islam, seul dans trois domaines sociaux, les femmes ne peuvent prendre par: le pouvoir, la justice et le combat – dans le sens de faire couler le sang-. Parce que – d’après les concepts religieux- la femme est un être sensible et émotif; contrairement à l’homme plus réfléchi. Or ces trois domaines nécessitent énormément de bons sens et non des sentiments; il ne faut donc pas permettre aux personnes émotives d’intervenir dans ces affaires totalement rationnelles; de façon très naturelle d’ailleurs, elles ne pourront pas non s’y développer.
Le meilleur témoin de cette réalité est la conjoncture existante dans les pays occidentaux; l’emploi d’un enseignement et d’une éducation identique pour les deux sexes n’a cependant pas permis a un nombre suffisant de femmes de parvenir à un haut niveau dans ces trois branches d’activités sociales. Dans la liste des renoms de la justice, de la politique et de l’armée, le rapport femme-homme est infime, on est bien loin de toute égalité; au contraire de bien d’autres domaines (tels que les soins, la danse, la musique, le cinéma et la peinture).